Dérivent les rives de ma sombre vie
Naturelle, primitive et mortelle
Dans la chair inoffensives et vieillis
De nos pairs bien trop cruels
Viens alors les jeunots ivres
Plein de panache et d’ardeur
Prêt à tout pour survivre
Dans cette mer sans cœur
Puis les femmes débarquent
Avec leurs plus beaux juste corps
Elles déploient toutes leurs barques
Mais les hommes sont déjà morts...
Naturelle, primitive et mortelle
Dans la chair inoffensives et vieillis
De nos pairs bien trop cruels
Viens alors les jeunots ivres
Plein de panache et d’ardeur
Prêt à tout pour survivre
Dans cette mer sans cœur
Puis les femmes débarquent
Avec leurs plus beaux juste corps
Elles déploient toutes leurs barques
Mais les hommes sont déjà morts...